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Publié le – Mis à jour le
Si à l’origine, la fabrication était familiale, les habitants se sont peu à peu organisés pour construire dans chaque village un four banal permettant la cuisson d’un plus grand nombre de pains et une économie de bois : la cuisson avait lieu le même jour à tour de rôle. Sur la commune, le four était situé au village à l’emplacement de la mairie. Si cette jouissance du four était généralement gratuite, il n’en était pas de même pour les Chenillards. Au 19e siècle, les élus en quête d’argent mettaient en adjudication tous les six ans le four et les deux chambres situées au-dessus. Les habitants venaient avec leur pâte et payaient suivant le cahier des charges établi (délibération du 5 mai 1898).
Son influence s’étendait sur plusieurs paroisses environnantes dont le prieur nommait les curés et les supérieurs. Détruit pendant les guerres de religion, il fut abandonné par les moines en 1570. Sa dernière arche est tombée, suite à un orage, en 1984. But de promenade jusqu’à la roche Corbières (belle vue sur la vallée).
Chapelle romane du XII° siècle, dépendant du prieuré de Saint Michel du Connest et située en bordure de l’ancienne route de Champ sur Drac à Saint Georges de Commiers. Comme Saint-Blaise, elle a un clocher en peigne et sur le porche le blason de la famille ALLEMAN dont trois des membres ont été des prieurs de Saint-Michel du Connexe. Son pèlerinage accueille toutes les paroisses voisines, il est toujours très suivi, le 8 septembre.
Elle domine le Village, dans l’enceinte du château de la famille ALLEMAN. Le clocher en peigne (très rare en Dauphiné) est inscrit à l’inventaire des monuments historiques. La cloche fondue en 1613, porte le nom de ses deux Saint-patrons : Saint-Pierre puis Saint-Blaise.
Construite en 1961, sur un terrain offert par une habitante du Village (Mlle MERMOZ), elle fait actuellement partie de la paroisse « Saint Paul de la Romanche » qui regroupe 6 anciennes paroisses des alentours. Elle remplace la chapelle des papeteries Navarre.
Datant du XII° siècle, elle est située à l’entrée de la commune. Elle servait de refuge nocturne aux voyageurs attardés. Un bac remplaça le pont emporté en 1219 (rupture du lac Saint Laurent à Bourg d’Oisans).
Jusqu’en 1685, les religieuses percevaient un droit de passage. Dix ponts furent successivement reconstruits sur le torrent. Actuellement c’est un domaine privé.
Construit au XII° siècle par la famille ALLEMAN. (puissante famille que l’on trouve dans les Savoie, le Dauphiné, les Hautes Alpes)Bastion catholique, il fut incendié par Lesdiguières et démantelé, à l’exception de la Tour, en 1587 contre 6 000 écus, pendant les guerres de religion. La tour a résisté à l’incendie et sur son éperon rocheux domine le village. Elle est le symbole de Champ sur Drac dans son écusson.Celui ci évoque le passé (avec la tour) et l’avenir (avec la roue de l’industrie).